Plaisance et Plaisanciers

Les New’s 2019



Alexandre BOUCHER, le 20 décembre 2019

En février vous ne verrez plus les silos


Symbole de l’ancienne cimenterie, les quatre bâtiments seront détruits pour construire le nouveau quartier en bord de Seine.


Cormeilles-en-Parisis, hier. Les silos de l’ancienne friche industrielle seront détruits début février.


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Julie MENARD, le 18 décembre 2019

Cergy : le deuxième port tombe à l’eau


A l’approche des municipales, « le Parisien » se penche sur cinq villes à enjeux. Cette semaine, retour sur un couac du mandat en cours. Aujourd’hui, le projet de Port Cergy II, est abandonné devant la contestation.


Cergy, le 12 décembre. Le port borde les quais de la Tourelle et de la Capitainerie dans le quartier du Village.


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Olivier DEBRUYNE, le 05 décembre 2019

Jeux Olympiques 2024 : la bataille des péniches


Sommés d’arrêter de déverser leurs eaux usées dans la Seine en vue des épreuves, les propriétaires de bateaux logements estiment qu’ils sont injustement montrés du doigt.
En cas de gros orages, les égouts de Paris déversent directement le trop-plein des eaux dans la Seine sans aucun traitement. La mairie n’en parle pas.
Que sera-t’il fait pour traiter les rejets qu’ils soient agricoles ou industriels en amont de Paris (industries à Vitry-sur-Seine ou Bonneuil-sur-Marne par exemple) ? Les sociétés de matériaux en bord de Seine (à Paris) sont-elles totalement « clean » ?


Paris, port de Grenelle. Les propriétaires de péniche devront faire des travaux d’adaptation de leur bateau pour traiter leurs eaux usées.


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Sébastien BIRDEN, le 03 décembre 2019

Le transport fluvial porte le plein-emploi


Le secteur, qui compte aujourd’hui 4000 professionnels en France, est en constante évolution. Le taux d’embauche au terme des formations frôle les 100%.


Pontoise (Val-d’Oise). Une péniche sur l’Oise. De plus en plus d’entreprises se tournent vers le fluvial pour le côté « green ».


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Guillaume Roussange, le 6 octobre 2019

Le chantier du canal Seine-Nord-Europe pourrait débuter en 2022


Le gouvernement a confirmé aux élus de la région Hauts-de-France que l’Etat allait s’engager à hauteur de 1,1 milliard d’euros dans ce projet de canal à grand gabarit pour relier l’axe Seine au nord de l’Europe.
« Enfin l’Etat confirme son engagement financier. » Le cri du cœur de Valérie Létard, vice-présidente de la région Hauts-de-France et vice-présidente du Sénat, résume le soulagement des élus nordistes et picards après l’annonce du gouvernement d’un accord sur le financement du canal à grand gabarit Seine-Nord-Europe.
Via l’Agence de financement des infrastructures de transport (AFITF), l’Etat s’engage en effet à verser 1,1 milliard d’euros. Une somme équivalente à celle déjà promise par le conseil régional des Hauts-de-France, les départements d’Ile-de-France, du Nord, de l’Oise, du Pas-de-Calais et de la Somme.
L’Union européenne participera, quant à elle, à hauteur de 2 milliards d’euros, au titre du mécanisme pour l’interconnexion en Europe (MIE). « S’agissant du reste à financer, l’Etat aidera à la mise en place de ressources à assiette locale pour financer la contribution d’équilibre, dont le montant sera garanti par les collectivités », ont indiqué Gérald Darmanin, ministre des Comptes publics, et Jean-Baptiste Djebbari, secrétaire d’Etat chargé des Transports, à l’issue d’une réunion avec les représentants de la région et des départements, à Lille, vendredi 4 octobre.


Serpent d’eau douce
Le canal, qui doit parcourir les 107 kilomètres séparant Compiègne (Oise) et Aubencheul-au-Bac (Nord), est considéré comme stratégique. Grâce à ses plates-formes multimodales, il doit en effet relancer le transport par voie fluviale entre le nord de l’Europe, le port d’Anvers par exemple, et le Bassin parisien. Les acteurs économiques locaux, en particulier des céréaliers comme Noriap, le réclament à grands cris depuis… près de quarante ans ! Son coût, à géométrie variable l’a transformé en véritable serpent de mer :
- 7 milliards d’euros en 2012,
- 4,8 milliards d’euros aujourd’hui.


En 1995, Alain Juppé annonçait un début rapide des travaux, de même que Nicolas Sarkozy en 2011 et François Hollande en 2017. Emmanuel Macron l’avait retenu au même titre que les lignes ferroviaires Lyon-Turin et Bordeaux-Toulouse. Il est vrai que l’abandon du projet, comme cela est arrivé au canal Rhin-Rhône en juin 1997, eut pris des allures de gabegie financière. Entre les études, les acquisitions de terrain ou les fouilles, 250 millions d’euros ont déjà été engagés…
La convention de financement entre l’Etat et les collectivités doit intervenir d’ici la fin de l’année. Signée, celle-ci pourrait signifier un début des travaux en 2022 et une mise en service six ans plus tard. Selon les études menées par les chambres de commerce ou Voies Navigables de France, qui gère le réseau fluvial principal, 10.000 emplois seront générés par ce chantier.
Source : les Echos à Amiens.


Céline Crespin, le 13/11/2019

Exposition à Conflans-Sainte-Honorine


Du 16 novembre 2019 au 12 janvier 2020.



Accès à l’article de la gazette des Yvelines (photo : Nicolas Sand)


Le 04 novembre 2019

ANPM - Association Nationale des Plaisanciers Motonautiques


Chers lecteurs, chers membres,
Cette page Facebook va prochainement fermer.
L’ANPM a été dissoute par décision du conseil d’administration et validation en assemblée générale extraordinaire ce 4 novembre 2019.


En tant que membre, vous recevrez prochainement par mail le CR détaillé de cette AG extraordinaire.
Nous remercions avec émotion tous les membres qui nous ont accordé leur soutien et ont ainsi contribué aux superbes réalisations de l’ANPM depuis sa création en 2012, ainsi que toutes les personnes qui directement ou indirectement ont œuvré à nos côtés pour la défense de la plaisance motonautique.
Merci à tous ceux qui se sont impliqués, qui ont donné de leur temps et de leur énergie en tant que membre actif, délégué, membre du bureau ou du CA.
Pour vous connecter sur le message original reçu sur Facebook.


Corentin Lesueur, le samedi 26 octobre 2019

Le Grand Paris et son super métro : ces terres qui ne servent à rien


Et si l’éradication de la Nouvelle Marina Port-Saint-Louis, voulue par certains politiques et Port de Paris cachait en réalité la mise en place d’un port de décontamination des terres polluées ou pire de simple stockage de ces terres ?
Sachant que le stockage coûte moins cher que le traitement, une fois le projet accepté, toute évolution future vers le stockage pouvait être potentiellement à craindre. Voir ce qui se passe dans l’Oise qui se transforme en poubelle pour les « bobos » parisiens.



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Anne-Laure Abraham, le vendredi 25 octobre 2019

La nouvelle Marina de l’Isle-Adam


Environ 1200 nouveaux habitants sont attendus à l’été 2020.



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Le mardi 17 septembre 2019

Sea Bubbles autorisé à expérimenter son bateau sur la Seine


Les politiques ont la mémoire courte. Si les Sea bubbles passent par le bras de la Monnaie à 30 km/h, vue l’étroitesse de ce tronçon, il y a fort à parier que l’histoire se répète.


Rappel :
le 13 septembre 2008, un bateau-mouche abordait et coulait une embarcation de plaisance, « l’Alcyone », en contrebas de Notre-Dame de Paris (bras de la Monnaie au pont de l’Archevêché), tuant deux de ses passagers. Le procès de ce drame rarissime sur la Seine s’ouvre ce lundi.


Seul prévenu renvoyé devant la 10e chambre correctionnelle de Paris, le pilote du bateau-mouche qui sera jugé pendant quatre demi-journées pour « homicides et blessures involontaires », « excès de vitesse » et « usage de stupéfiants » (non-respect des distances de sécurité réglementaires entre navires et un excès de vitesse au-delà des 12 km/h autorisés par le règlement fluvial). Il avait été contrôlé positif au cannabis.



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Marie Persidat, le lundi 08 juillet 2019

Le maire renonce à Port Cergy II


La féroce opposition de la part des habitants entraine l’abandon du projet.



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Marie Persidat, le mercredi 15 mai 2019

Port Cergy II : aux habitants de plancher


Le projet du nouveau port sur la zone maraîchère suscitant trop d’opposition, la municipalité invite les habitants à l’élaboration d’un aménagement.



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Le lundi 06 mai 2019

Tourisme à Pont-de-l’Arche : une halte fluviale à 3,5 millions d’euros


L’Agglomération Seine-Eure s’est penchée jeudi 25 avril 2019 sur le plan de financement de la halte fluvial. Le projet n’a pas fait l’unanimité et suscite encore des questions.


L’île de la Poterie, face au centre-ville de Pont-de-l’Arche, devrait accueillir la future halte fluviale.


L’investissement est conséquent pour la Case (communauté d’agglomération Seine-Eure). Les élus communautaires ont voté, jeudi 25 avril 2019 au soir, une délibération portant sur la halte fluviale de Pont-de-l’Arche. Plus précisément : son plan de financement, qui comprend les demandes de subventions.
L’opération coûte un peu plus de 3,5 millions d’euros. Les subventions totales dépassent légèrement 1,5 million d’euros, soit 300 000 € de financements européens et environ 1,2 million d’euros en provenance de la Région, dans le cadre du contrat d’agglomération. Reste à payer un peu plus de 2 millions d’euros par la Case, le vice-président chargé du tourisme, Jean-Yves Calais (SE), espérant que l’Agglomération trouve des subventions supplémentaires.


Sur l’île de la Poterie
La halte fluviale sera aménagée sur l’île de la Poterie, à quelques brasses de Pont-de-l’Arche. Le dossier a été ouvert en 2015, l’Agglo comptant profiter du potentiel de son territoire. Plusieurs critères ont plaidé pour cette nouvelle structure :
- l’escale en connexion directe avec [le] centre-ville, la présence d’un « nombre important de commerces [avec] retombées directes », « un site d’escale naturel et atypique », de « nombreuses animations sur les berges »…
Lors du conseil communautaire, le sujet n’a pas fait que des heureux. Jugeant ce « tourisme polluant et élitiste », Alexis Fraisse (EELV) s’inquiète de la part importante à payer par la Case :
- il y a des moyens plus intelligents de dépenser de l’argent.

Tandis que Jean-Yves Calais rappelle les potentielles « retombées économiques », le président Bernard Leroy (UDI) revient sur l’objectif de la délibération, « demander des subventions ». Il reste encore des démarches à réaliser : consultation, études auprès des opérateurs afin de déterminer celui qui « pourrait faire cette escale ». La Case devra ensuite valider définitivement le projet.


Offre touristique
Faire venir des touristes » suscite en tout cas l’intérêt de Jean-Jacques Coquerel (PS). Mais l’élu de Val-de-Reuil s’interroge sur « l’offre touristique » :
- il n’y a pas de chambre d’hôte, pas de ferme auberge !
Jean-Yves Calais lui répond :
- ils dorment sur le bateau, il n’y a pas d’hébergement. Notre escale serait la seule entre Paris et la mer où on pourrait offrir du loisir et de la détente. Le territoire a deux golfs, un ensemble de petits châteaux très jolis, une base de loisirs…
Le maire de Pont-de-l’Arche complète les propos de son collègue de Léry.
- certaines escales ou bus attendent les touristes et les font sortir du territoire. Il y a aussi des escales de nuit où les bateaux restent au moins 20 h sur site », assure Richard Jacquet (PS).


Vrai cachet
Pour Bernard Leroy, le projet est encore en chantier. Mais il est au moins sûr de la base en termes d’offre touristique.
- Pont-de-l’Arche est une ville médiévale. Il y a un vrai cachet. Les touristes ont-ils envie d’un château de la Vallée de l’Eure ou de sport ? L’escale à Vernon, c’est Giverny, rien d’autre. Nous allons voir si nous arrivons à construire quelque chose d’attractif et complémentaire. »
L’Agglomération doit s’assurer au moins que du monde s’arrêtera à Pont-de-l’Arche. C’est ce qui inquiète Daniel Jubert (LR) :
- il faut être certain que les gens restent à bord des bateaux après Les Andelys. Je les vois passer devant chez moi tous les jours. Je les trouve assez vides, les bateaux.


Source : la Dépêche de Louviers


Le samedi 27 avril 2019

Le bateau-atelier de Daubigny voguera bientôt


La réplique de l’embarcation du peintre du XIXe siècle a été remise à l’eau. Elle proposera prochainement des balades.



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Le vendredi 26 avril 2019

Pollution de la Seine par VINCI


Une enquête va être ouverte.



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Jean-Gabriel Bontinck, le 22 avril 2019

Et si la Seine redevenait une autoroute à bateaux ?


Le transport de marchandises y a augmenté de 3,8% en 2018.



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Le lundi 08 avril 2019

Cormeilles-en-Parisis


Le futur port de plaisance.



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Le mercredi 20 mars 2019

Les Sea Bubbles


ATTENTION DANGER. Ces véhicules flottants vont se croire les « Rois » du fleuve. A l’exception de la majorité des bateaux de plaisance et des bateaux des mariniers, les bateaux de tourisme ont parfois un comportement douteux avec les bonnes règles de navigation. J’imagine les dégâts à 50 km/h en plein travers d’un bateau-mouche qui aura tourné sans prévenir pour faire son demi-tour. En cas d’accident qui sera responsable ? A suivre...



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Alexandre Boucher, le 09 mars 2019

Les berges vont être réaménagées


La ville va lancer des travaux de réhabilitation en deux temps, afin de valoriser la promenade le long de la Seine.



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Thibault Chaffotte avec Jila Varoquier, le 10 février 2019

Que faire des terres du Super métro


Plutôt que de garder ses déchets de construction à l’intérieur de la A86, Le Grand Paris va polluer les départements limitrophes. Le projet de port industriel de Carrières-sous-Poissy en lieu et place de la Marina Port St. Louis entrait dans ce schéma.



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Elie Julien, le 10 janvier 2019

Le canal Seine-Nord Europe dévoile enfin son tracé dans l’Oise


EXCLUSIF. Nous nous sommes procuré le parcours du secteur 1, long de 18 km entre Compiègne et Pont-l’Évêque. Ponts, écluse, emprise sur le bâti, quais de chargement. Tout est désormais programmé.



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Le 07/01/2019

Les grands Projets du Val d’Oise


La Marina va sortir de terre.



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Mardi 01 janvier 2019

Bonne Année 2019


Tous mes vœux pour cette nouvelle année pleine de belles navigations



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