Le 17/10/2018
Port Cergy II
Les habitants préféreraient voir couler le projet : les riverains sont montés au créneau lundi dernier.
Accès à l’article du Parisien Val d’Oise
Le 02/10/2018
La future Marina de Cormeilles-en-Parisis
Le projet rentre dans sa phase de consultation.
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Le 20/06/2018
Une nouvelle escale fluviale à la Roche-Guyon
Mais cette escale sera réservée aux bateaux de croisières. Rien de prévu pour la plaisance, uniquement pour le tourisme de masse. Que fait VNF avec l’argent de nos vignettes ?
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Le 08/05/2018
Cormeilles-en-Parisis : 1200 logements et 150 anneaux dans la future marina
On y voit plus clair dans le projet. La ville vient de lancer la procédure de modification de son plan local d’urbanisme préalable à sa mise en œuvre.
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Le 18/04/2018
De nouveaux ports de plaisance en Ile-de-France
Près de trente ans après l’ouverture de Port-Cergy dans le Val-d’Oise, premier du genre en Ile-de-France, les projets de quartiers conçus autour de ports de plaisance fleurissent autour de la capitale.
25/03/2018
Port industriel de Triel : le ministère de l’Ecologie a fait appel. La procédure a été déposée in extremis.
La préfecture, non. Le ministère, oui. C’est finalement le ministère de la Transition écologique qui a fait appel, in extremis, de la décision du tribunal administratif de retoquer le projet de port industriel à Triel-sur-Seine. La procédure date du 19 mars, selon la préfecture des Yvelines dont le plus haut représentant, Serge Morvan, avait, courant janvier et à deux reprises, annoncé qu’il ferait « étudier par (ses) services la faisabilité d’un appel. » « Il n’y a aucune marche arrière de la part du préfet », confie une source proche de l’affaire.
Selon la préfecture, la procédure a été respectée et l’appel est donc recevable, même s’il est arrivé deux jours après la date limite de dépôt. « En fait, on compte en nombre de jours ouvrables », précise un proche du dossier. Une information impossible à confirmer directement auprès des interlocuteurs concernés : ni le ministère de la transition écologique, ni le Conseil d’Etat, ni la cour administrative d’appel n’ont répondu à nos nombreuses demandes d’information…
Source : Le Parisien Yvelines
Le 27/03/2018
[COMMUNIQUÉ DE PRESSE] Ports de Paris et le Préfet des Yvelines font appel du Jugement !
Annulé par le Tribunal administratif de Versailles le 11 janvier dernier,
le projet de création d’un port industriel de retraitement de
déchets à Carrières-sous-Poissy et Triel-sur-Seine connaît
un nouveau rebondissement.
Contre toute attente, Ports de Paris et le Préfet des Yvelines ont décidé de
contester le jugement des Magistrats du Tribunal administratif devant la Cour
d’appel.
Pour Anthony Effroy, Président de l’association Rives de Seine
Nature Environnement, cette décision va à l’encontre de
l’intérêt général et ne se justifie par aucun
argument sérieux. Le jugement du 18 janvier dernier repose sur des motifs
graves :
- l’insuffisance de l’étude d’impact sur la pollution
de l’air, le bruit et sur les milieux naturels et l’insuffisance
des prescriptions de l’arrêté du préfet des Yvelines.
Il est surprenant que l’État s’obstine à vouloir
soutenir ce vieux projet des années 90, dont les impacts sanitaires
et environnementaux ne peuvent plus être acceptés au 21ème
siècle. »
Un projet qui n’est plus soutenu par les élus. Jadis présenté comme
un port urbain devant permettre le développement de la filière
bois de l’écoconstruction, les études socio-économiques
ont rapidement révélé la véritable vocation de
cet aménagement portuaire :
- le retraitement de déchets.
Un tel projet en limite d’un Espace Naturel Sensible (ENS) et à quelques
centaines de mètres de milliers d’habitations a généré une
forte opposition, à laquelle se sont associés de nombreux élus
locaux, comme le rappelle Anthony Effroy :
- « les communes de Triel-sur-Seine et Villennes-sur-Seine ont exprimé leur
refus à ce projet par un vote de leurs assemblées délibérantes
et ont déposé divers recours contre cette plateforme portuaire.
Les Députées des deux circonscriptions concernées par
cet aménagement, Natalia Pouzireff et Michèle De Vaucouleur,
sont intervenues par courrier auprès de Nicolas Hulot, afin du lui faire
part de leurs inquiétudes et de leurs réserves relatives à ce
projet de port industriel. Enfin, plus récemment, c’est le Conseil
Régional d’Île-de-France qui a annoncé son désengagement
financier du projet, le supprimant dans la foulée de la carte de synthèse
du système logistique francilien, lui retirant ainsi son caractère
stratégique à l’échelle régionale. Force
est de constater que citoyens, associations et élus s’accordent
sur le fait qu’un tel projet est inadapté au territoire et doit être
abandonné. »
Il est impensable que le Ministère de la Transition Écologique
et Solidaire soutienne un projet aussi néfaste pour l’environnement,
les associations en appellent donc au bon sens de chacun.
Les perspectives de développement économique autour de la plaisance
seront retardées par cette nouvelle procédure, c’est une
mauvaise chose pour notre territoire.
Source : Rives De Seine Nature-Environnement
Vendredi 16 mars 2018
Port de Triel-Sur-Seine (78) : les écologistes se réjouissent du désengagement de la Région
Les élu-es du Groupe Alternative Écologiste et Sociale ont, ce jour, obtenu que le Conseil Régional d’Île-de-France annonce son retrait des financements du Port de Triel-sur-Seine. Après l’annulation, par le Tribunal administratif de Versailles du projet de port industriel de retraitement de déchets sur les communes de Triel-sur-Seine et Carrières-sous-Poissy, cette annonce est un autre pas en avant pour l’environnement.
Pour lire la suite : Port de Triel-Sur-Seine
Document du 27/07/2016
Infrastructures de transports - Port autonome de Paris : la Cour des comptes dénonce une gouvernance "obsolète"
La Cour de comptes pointe un conseil d'administration "au format excessif (32 membres) et auquel siègent des représentants des clients du port". "Les règles visant à prévenir les conflits d'intérêts (...) sont insuffisamment appliquées.
Dans un rapport rendu public mardi 26 juillet, la Cour des comptes juge "obsolète" la gouvernance du Port autonome de Paris (PAP), premier port fluvial de France. La Cour, qui s'est penchée sur la gestion du PAP de 2009 à 2015, pointe un conseil d'administration "au format excessif (32 membres) et auquel siègent des représentants des clients du port". "Les règles visant à prévenir les conflits d'intérêts (...) sont insuffisamment appliquées alors que la composition du conseil d'administration aurait dû conduire le commissaire du gouvernement et la tutelle à une vigilance renforcée", souligne-t-elle. La Cour relève aussi la participation au conseil d'administration "de personnes dont la nomination n'a pas été faite selon les formes requises et le respect insuffisant d'un certain nombre de ses règles de fonctionnement interne".
Elle recommande de limiter à 20 le nombre de membres du conseil "en en retranchant les représentants des clients et en instituant un conseil de développement représentant les milieux professionnels, sociaux et associatifs". Concernant le groupement d'intérêt économique Haropa, qui réunit les ports du Havre, de Rouen et de Paris, la Cour estime que "les limites constatées dans sa gouvernance, les difficultés rencontrées par le modèle économique des GPM (grands ports maritimes) ainsi que leurs besoins d'investissement rendent nécessaire d'approfondir encore la coopération interportuaire sur l'axe Seine". Elle préconise de "coordonner la politique d'investissement des trois ports et de mutualiser son financement".
Elle juge par ailleurs "inaboutie" la gestion prévisionnelle des emplois et épingle l'organisation du temps de travail hebdomadaire sur quatre jours qui concerne la quasi-totalité des 202 salariés du PAP. Cette organisation "ne facilite pas la conduite des projets, qui tendent à s'étaler dans le temps", estime-t-elle, préconisant "un pointage automatisé pour s'assurer du respect des horaires".
Dans sa réponse à la Cour, la ministre de l'Environnement Ségolène
Royal écrit notamment qu'"une modernisation" de la gouvernance
du PAP "pourrait être examinée dans les prochains mois" et
que la gestion des emplois "pourra utilement faire l'objet de discussions
dans le cadre des instances de gouvernance du port".
De son côté la direction générale de Ports de Paris
indique que la gestion des emplois a donné lieu à "plusieurs
plans d'actions thématiques" et que le développement de
la mutualisation au sein d'Haropa va être examiné.
Source (lien désactivé) : Au service des Territoires
Photographie prise le 16/02/2018
La décrue de la Seine (février 2018)
La décrue de la Seine est très lente. La côte est toujours à 3,59m à 16h00 ce vendredi 16 février.
Ces photographies ont été prises les 27, 28 et 29 janvier 2018
La crue de la Seine 2018, les ports en Seine Aval et sur l’Oise
West Marina située à 30 km de Paris, en bord de Seine au PK87
en rive droite, présente quelques soucis pour accéder aux bateaux.
Boat Paradise face à Conflans-Sainte-Honorine en rive gauche, les
pontons ne sont plus accessibles.
A Port Cergy les pontons restent accessibles mais que d’eau.
Virginie Wéber, le 29 janvier 2018
Triel-sur-Seine : les opposants au projet de port industriel restent mobilisés
La joie a laissé la place à l’inquiétude chez les associations hostiles au projet de port industriel, à Triel-sur-Seine. Ils sont inquiets, et incrédules, depuis que le préfet des Yvelines Serge Morvan a confié son intention de faire appel de la décision du tribunal administratif de Versailles. Le 11 janvier dernier, la justice a retoqué le projet, évoquant des « inexactitudes », « imprécisions » et « omissions » sur des éléments constitutifs du dossier, selon leur avocat, maître Alexandre Faro, qui a eu accès au jugement. « L’étude d’impact est au cœur de la décision administrative », ajoute le conseil.
« J’ai été particulièrement étonné d’apprendre la décision du préfet et je ne peux que l’inviter à revoir son jugement », insiste Anthony Effroy, élu d’opposition à Carrières-sous-Poissy et président de l’association Rives de Seine nature environnement. Depuis le début, le projet porté par Haropa ports de Paris a récolté plusieurs avis négatifs, à commencer par celui du commissaire enquêteur, puis du rapporteur public. Dans ses conclusions, cette dernière émettait également des doutes sur l’intérêt économique de la plate-forme.
Depuis, de nombreux élus du territoire ont rejoint les rangs des opposants. Le maire (LR) de Villennes-sur-Seine Michel Pons fait d’ailleurs partie du collectif qui a attaqué la déclaration d’utilité publique du projet. Les députées (LREM) Natalia Pouzyreff et Michèle de Vaucouleurs ont émis des réserves à ce projet tel qu’il est actuellement présenté. Les élus de Triel-sur-Seine prévoient à leur tour de marquer leur opposition, lors du prochain conseil municipal, le 7 février.
Mais tous ne partagent pas cette position. Un maire de la vallée de la Seine avoue ne pas comprendre la décision du tribunal administratif. « Le projet validé par l’État est rayé d’un trait de crayon », s’étonne l’élu. La bataille est donc loin d’être terminée.
Source : le Parisien Yvelines
Du 08 janvier au samedi 27 janvier 2018
La crue de la Seine en 2018 à la nouvelle Marina Port-Saint-Louis
Ces photographies ont été prises en janvier 2018 à la nouvelle Marina Port-Saint-Louis.
Photographies prises le 8 janvier pour la première, le 18 janvier pour la deuxième le 25 janvier pour la troisième et le 26 janvier pour la dernière.
Mardi 23 janvier 2018
La crue de la Seine en 1910
L’inondation de janvier 1910 est le résultat de plusieurs éléments
météorologiques simultanés, qui se sont conjugué à la
situation géographique de Paris et la réaction des sols :
- un été particulièrement pluvieux et un hiver marqué par
de fortes précipitations (des chutes de neige importantes et des pluies
torrentielles touchent toute l’Europe à partir de l’automne
1910),
- des terres saturées d’eau, entraînant une forte montée
de la Seine en amont (les affluents de la Seine, comme la Marne et l’Yonne,
sont aussi en crue).
Cliquez sur la photo pour voir le niveau de la crue à la Marina Port Saint-Louis
Pour lire la suite :
dossier archives de Paris en pdf
Rodrigo Acosta Vendredi, 12 janvier, 2018 – 18 : 35
Port de fer contre pot de terre : la ténacité a payé
La décision du tribunal administratif de Versailles a scellé la fin de ce vieux rêve technocratique d'un autre âge ! Cette victoire symbolise la ténacité des habitants qui se sont montrés efficace pour démontrer "l'inutilité publique" de cet ouvrage. Un rappel des faits politiques et des actes méritoires qui ont conduit à ce résultat.
C’était une décision très attendue par les riverains et par les associations de protection de l’environnement ; initialement programmé pour le 21 décembre 2017, le jugement des magistrats de la Cour administrative de Versailles a été rendu le jeudi 11 janvier. Dans leurs ordonnances, les juges annulent la déclaration d’intérêt général et l’arrêté du préfet des Yvelines nécessaire à l’aménagement de la plateforme portuaire dans les communes de Carrières-sous-Poissy et Triel-sur-Seine.
Cette victoire appartient au collectif qui s'est constitué en 2013 :
il a permis de mener une lutte acharnée sur deux plans, politique et
environnemental. De plus, il a organisé une série de manifestations
qui ont marqué les esprits de ceux et de celles qui avaient planifié ce
projet d'une autre époque.
D'abord, un citoyen-élu a fait bouger les frontières de l'impossible
avec l'aide et le concours avisé de plusieurs conseillers de l'ombre.
Anthony Effroy, conseiller municipal de Carrières-sous-Poissy et président
de l’association Rives de Seine Nature Environnement, a été un
catalyseur de premier niveau. Il a savouré cette victoire, en déclarant
que ce jugement s’inscrit dans la continuité des décisions
défavorables qui ont ponctué ce projet depuis son lancement : «Après
les avis défavorables de l’Autorité Environnementale (AE)
et du commissaire-enquêteur, les conclusions particulièrement
sévères du rapporteur public lors de l’audience du 7 décembre
dernier, c’est au tour du Tribunal administratif de Versailles de sanctionner
ce projet en annulant toutes les autorisations nécessaires à la
réalisation de ce port industriel».
Quant aux habitants de Villennes-sur-Seine, ils ont pris leur part du combat : plusieurs manifestations fluviales ont retenti partout en Île-de-France. Le président de la copropriété de l'île a fait appel à un avocat de premier rang dans les cercles de la République. Il était, certes, parfois difficile de coordonner des actions diverses et variées, mais la présence de M. Michel Gatta, gérant de la Marina Saint-Louis a permis un ancrage dans le territoire et des actions festives, militantes à tonalité politique. Par exemple, à partir de la Marina Saint-Louis, la marche d'avril 2013 a rassemblé plus de 400 personnes dont le maire de Carrières-sous-Poissy, Christophe Delrieu.
Sur le plan politique, les élus écologistes, dont Mme Ghislaine Senée, ont participé à toutes les actions et ont fait bloquer les financements d'une partie des études préalables à la mise en place de ce projet. Les écolos ont été constants face à une myriade d'élus qui ont changé d'avis : M. Delrieu est arrivé au pouvoir en se positionnant contre le projet du port ; ensuite, il a trahi "ses convictions". Par contre, la prise de position du maire de Villennes-sur-Seine de l'époque, M. François Gourdon, et de son conseil municipal a été un "coup de tonnerre" le 11 octobre 2013 : "On (était) contre le projet du Port de Triel et l'on assumait !". Certes, au départ il devait avoir juste une motion qui indiquait les contraintes écologiques et acoustiques si le port devait se faire. Toutefois, comme Ports de Paris avait annoncé par la voie de l'intercommunalité de l'époque (CA2RS) que la mixité entre le port industriel et le port de plaisance actuel n'était pas faisable techniquement, le maire de Villennes avait demandé au conseil municipal de le suivre dans la démarche de s'opposer aux maîtres d'ouvrage, Ports de Paris et la CA2RS. "Ce projet apportait une nuisance considérable" et de ce fait, "il a regretté" de devoir s'opposer à ce projet. Il faut enfin mentionner l'ancien député Pierre Morange qui avait aussi dénoncé ce projet.
Désormais, nous constatons que le vent a changé. Ainsi, Eddie Aït a salué dans un communiqué du 11 janvier "la ténacité des opposants aux projets et demande à la Communauté urbaine Grand Paris Seine et Oise de réaliser une étude d’impact". Vraiment, nous aurons tout vu avec cet ancien maire de Carrières-sous-Poissy resté conseiller municipal, conseiller régional d’Île-de-France (Mouvement radical), membre de la commission Transports : pourfendeur de la Marina Saint-Louis, bétonneur et autoritaire quant aux projets tels l'éco-port de Triel et la Centralité. Entre tables rondes et moratoires, tous les politiques devaient se rendre à l'évidence : ce projet n'était « ni fait ni à faire ».
Les craintes des riverains générées par le projet de cette infrastructure portuaire, désormais légitimes, ont donc été plus fortes que les annonces de créations d’emplois et les discours sur les nécessités économiques du secteur. Après la décision de son annulation, il est, maintenant, urgent de faire réaliser une étude d’impact, afin de mesurer les conséquences sur l’aménagement et la desserte de l’Eco-pôle situé à proximité immédiate.
Contacté, Port de Paris n’a pas souhaité faire de commentaires.
Article sur le journal des deux rives
Le Parisien Yvelines du 12/01/2018
Triel-sur-Seine - Carrières-sous-Poissy : le projet de port industriel retoqué par les juges
Le tribunal administratif a rejeté ce jeudi l’autorisation d’aménagement du port. Il y a désormais peu de chances de voir se construire un tel équipement dans ce secteur.
Il n’y aura sans doute pas de port industriel dans le secteur de Triel-sur-Seine. Le tribunal administratif de Versailles a retoqué ce jeudi ce projet d’envergure régionale qui devait être érigé en lieu et place de l’actuelle marina de plaisance. Les magistrats ont également annulé l’arrêté préfectoral autorisant sa construction.
Cette annonce n’est pas vraiment une surprise. En décembre dernier, le rapporteur public avait déjà refroidi les partisans du port. Dans ses conclusions, elle doutait de son intérêt économique. L’argument du nombre d’emplois créés (entre 300 et 700) n’avait pas convaincu la magistrate dont les analyses sont en général suivies par le tribunal. Les risques environnementaux de cet équipement fluvial ont également pesé. En outre, le commissaire enquêteur avait déjà rendu un avis négatif sur le projet.
Les motivations précises des juges seront connues dans les prochains jours, lorsque les ordonnances seront rendues publiques. Les impacts sanitaires et environnementaux négatifs ont été très certainement retenus, analyse Anthony Effroy, conseiller municipal (SE) de Carrières-sous-Poissy et président de l’association Rives de Seine nature environnement, hostile au projet. Cela démontre bien que, contrairement à ce qui a pu être dit, nous ne nous sommes pas battus pour de petits intérêts particuliers. Notre combat relève de la défense de l’environnement. Treize personnes avaient attaqué le projet.
A l’étude depuis les années 1990 et porté par Ports de Paris, ce port de 34 ha s’intégrait à un vaste éco-pôle. Il devait limiter l’usage du transport routier à l’intérieur de ce futur quartier industriel qui a perdu, depuis ce jeudi, une partie de sa substance. « Notre objectif était de développer le transport fluvial pour acheminer les matériaux de chantier préparés dans les ateliers de l’éco-pôle, assure Philippe Tautou, président (LR) de la communauté urbaine Grand Paris Seine & Oise. S’il n’y a pas de port, les éléments seront transportés par la route. Et de fait, cela augmentera le nombre de camions dans le secteur ». Cela n’empêchera pas l’aménagement d’éco-pôle, assure l’Epamsa (Etablissement Public d’Aménagement du Mantois Seine Aval) aménageur de la zone, qui prévoit d’implanter des entreprises dédiées à l’écoconstruction à Carrières-sous-Poissy, dans le prolongement du port. Les matériaux seront destinés aux chantiers d’Ile-de-France.
Contacté, Port de Paris n’a pas souhaité faire de commentaires.
Source : Le Parisien Yvelines
Lundi 08 janvier 2018
La crue de la Seine en janvier 2018
L'accès à la rampe de mise à l'eau ainsi qu'aux pontons. Il faut y aller à la nage.
L'accès à la Marina par la Seine, bientôt seul le panneau sera visible (vue depuis les pontons)
Lundi 01 janvier 2018
Bonne Année 2018
Tous mes vœux pour cette nouvelle année pleine de belles navigations